Il y a 25 ans, Genesis jouait à Lyon

Le 20 février 1998, Genesis donnait un concert à la Halle Tony Garnier de Lyon, dans le cadre de sa tournée ‘Calling All Stations’. La seule fois où j’ai vu le groupe sur scène.

Genesis en 1997-98 : Mike Rutherford, Ray Wilson et Tony Banks © Getty Images

J’ai découvert Genesis en 1994-1995 grâce à mon ami Jérôme, batteur de son état, et admirateur du jeu de Phil Collins, parmi d’autres. Dès le début, j’ai tout de suite préféré la période dite « Gabriel ».

► Cette domination est d’ailleurs une erreur à mon sens comme je l’explique dans cette chronique

Mais le pire, c’est que la seule fois où je les ai vus sur scène, c’est pendant la tournée Calling All Stations, c’est-à-dire sans même Phil Collins ! Les circonstances ont fait que j’ai assisté à un concert avec Ray Wilson en février 1998. A cette époque, ni Chester Thompson ni Daryl Stuermer n’étaient dans le groupe, ce qui en faisait donc l’incarnation sans doute la moins représentative de toute l’histoire de Genesis !

↑ Un concert qui doit ressembler fortement à celui auquel j’ai assisté ↑

J’ai quand même eu droit à deux chansons de The Lamb Lies Down on Broadway (le morceau-titre et Carpet Crawlers), l’instrumental de Firth of Fifth, et l’intro de Dancing With the Moonlit Knight. Pour le reste il s’agissait de titres de l’album Calling all stations que je n’ai jamais écouté, et les tubes de la période dite « Collins ».

SETLIST :

  • No Son of Mine
  • Land of Confusion
  • The Lamb Lies Down on Broadway
  • Calling All Stations
  • The Carpet Crawlers
  • There Must Be Some Other Way
  • Domino
  • Firth of Fifth
  • Congo
  • Home by the Sea
  • Second Home by the Sea

Acoustique :

  • Dancing With the Moonlit Knight
  • Follow You Follow Me
  • Mama
  • The Dividing Line
  • Invisible Touch
  • Turn It On Again

Rappel :

  • Throwing It All Away
  • I Can’t Dance

De tous les concerts auxquels j’ai assisté, c’est sans hésitation celui qui m’a le moins marqué. Mais ça se comprend du fait de son caractère un peu particulier et surtout anecdotique au sein de la carrière d’un groupe monument. Hormis l’occasion d’avoir vu les légendes que sont Rutherford et Banks, ma rencontre avec Genesis n’aura pas vraiment eu lieu lors de cette soirée singulière à la Halle Tony Garnier à Lyon. C’était il y a tout juste un quart de siècle aujourd’hui.

© Jean-François Convert – Février 2023

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6 commentaires sur “Il y a 25 ans, Genesis jouait à Lyon

  1. Pour moi genesis c est péter Gabriel+phill collins à deux ils ont fait des merveilles…
    Gabriel solo c est moins bien
    Phil collins c est pas toujours bien
    Un peu comme lennon et MC cartney

    1. on parle souvent des périodes « Gabriel » et « Collins », mais pour moi la distinction se fait plutôt au départ de Steve Hackett : https://textes-blog-rock-n-roll.fr/genesis-ne-devrait-on-pas-parler-de-periode-hackett-plutot-que-gabriel/

  2. Je suis un grand fan de Genesis depuis 1975 surtout époque Gabriel…. Pourtant camping station s il est déroutant et différent est quand même un super super album.. dommage qu ils aient laissé tomber Ray Wilson… Moi j ai pas adoré la pop de Phil Collins trop commercial a part maman… Vive calling station… Thé lamb lies down on Broadway ..selling England by thé pound etc

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    1. J’ai prévu une chronique de Sellling Englznd pour les 50 ans le 12 octobre

  3. Je ne connaissais pas ray wilson jusqu’à il y a peu de temps et comme j’ai aimé, je me suis renseigné sur lui et j’ai donc su qu’il avait fait parti de genesis pour un album et une tournée et bien sûr genesis je connais… Eh bien j’ai bien aimé l’album que j’ai acheté il y a peu de temps et j’ai regardé sur youtube un concert à katowice que genesis, avec wilson donc, avait fait et j’ai trouvé qu’il (wilson) s’en était bien sorti… Alors OK genesis c’est phil collins on est d’accord. J’ai donc fini par écouter ce que wilson avait fait après cette période et j’ai adoré aussi, j’ai donc fini en décembre 2022 par aller voir wilson à fleming merlebach en concert et j’ai adoré….

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  4. L’album maudit.

    La faute de goût.

    Pour avoir assisté au même concert quelques jours plus tôt, il faut admettre Que Ray Wilson faisait le job. Mais bon, c’est sûr que les concerts époque Gabriel ou Mama / Invisible Touch, c’était autre chose !

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