Un livre sur le film ‘L’homme qui venait d’ailleurs’ avec Bowie

Le 21 février paraitra ‘David Bowie, L’homme qui venait d’ailleurs’ de Serge Féray aux Éditions Le mot et le reste.

David Bowie, L’homme qui venait d’ailleurs étudie l’étape importante que constitue le film de Nicolas Roeg dans le parcours créatif de David Bowie et explore une face méconnue, pourtant essentielle, de l’artiste. Il n’existe pas d’autre livre en français fournissant une analyse de ce film alors qu’il est important dans le parcours de David Bowie.

L’ouvrage de Serge Féray intéressera tous les fans de Bowie car, explorant l’impact de l’expérience du tournage sur la production musicale de Bowie, il permet ainsi de mettre en perspective son œuvre.

David Bowie, L’homme qui venait d’ailleurs traite du film de Nicolas Roeg sorti en 1976 avec en vedette David Bowie. Soulignant son originalité par rapport à la production SF de l’époque mais aussi dans le ciné-rock, l’essai, à travers anecdotes et analyses, expose les enjeux du passage au grand écran d’une star avide de renouvellement. En confrontant les styles du cinéaste et du musicien, il étudie ce long-métrage longtemps mal compris, qui apparaît aujourd’hui comme un élément majeur du corpus bowien. Docufiction explorant l’ambiguïté acteur/personnage, pendant cinématographique des recherches musicales entreprises par Bowie à la fin des années soixante-dix, le film propose une allégorie de la star et l’inspire en retour : à l’issue du tournage, l’artiste redéfinit son statut de créateur et invente, aux confins du rock, une nouvelle musique.

Né en 1967, agrégé de Lettres modernes,
docteur en littérature française et littérature
comparée, Serge Féray a publié un roman
de science-fiction, Apocalypse (Cahiers de
Nuit, 2000). Il a consacré deux essais à la
chanteuse du Velvet Underground, Nico In
Camera
(CdN, 1998) et Nico, Femme fatale
(Le mot et le reste, 2015). En 2023 est paru
aux éditions Passage(s), Le Romancier et
ses monstres
, un essai portant sur le mythe
de Frankenstein tel que l’a traité Emmanuel
Carrère dans Bravoure, son deuxième roman.

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