Mon premier concert de Popa, et l’occasion de le rencontrer
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Un mec sympa
Ce soir Le Transbordeur accueillait Popa Chubby. J’ai eu la chance de pouvoir lui parler 5 min pendant qu’il mangeait dans sa loge avant le concert (pour son interview en octobre, je l’avais interrogé par Skype depuis chez lui alors qu’il était dans son lit…décidément je le croise toujours dans des situations incongrues). Super sympa. on a parlé de guitare bien sûr, mais aussi du public français qu’il adore, du Bataclan où il va jouer la semaine prochaine…et il a accepté très gentiment de prendre une photo et de me dédicacer mon billet.
Le concert
Ensuite, super concert de 2h30 environ, avec tous les ingrédients de la musique live de Popa Chubby : du gros son, du larsen, mais aussi du picking, du violoning…
une interaction très chaleureuse avec le public, un duo de batterie, et que des bons morceaux : plusieurs du dernier album (Chubby’s Boogie, Me won’t back down, Wound up getting high, Dirty old blues…),
Dirty old blues
Drum solo
quelques anciens dont C’mon in my kitchen, Sweet Goddess of Love & Beer et Blues for Charlie, l’inévitable reprise de Hey Joe,
Hey Joe
le très attendu et demandé Hallelujah, et un double meddley final : d’abord instrumental avec le Thème du parrain – Misirlou – Somewhere over the rainbow, puis chanté avec Voodoo Child – Whole Lotta a love ! Une fin de toute beauté.
Hallelujah
The Godfather Theme
Un concert qui une fois encore a bien retranscrit sa profession de foi : Peace, love and loud guitars !✌️🤘🎸
les photos et vidéos sont de piètre qualité, mais je n’avais que l’iphone sous la main et la lumière était faiblarde…
J’ai du le voir pas loin d’une dizaine de fois ! Donc je conseille vivement de le voir en live. Je l’ai découvert avec la sortie du live « Live at FIP ». Je l’ai vu pour la première fois dans la salle de Ris-Orangis « Le Plan ». Un de albums que j’ai le plus écouté est sûrement « The good, the bad & the Chubby » avec les titres « Somebody Let The Devil Out » et « I can’t see the light of day ». J’ai découvert par la même occasion Dixiefrog et donc en autre les artistes Eric Bibb, Big Ed Sullivan (vu en première partie d’un concert de Popa pendant lequel ce dernier était à la batterie) et le regretté Bill Perry. Par chance, j’ai pu voir ce dernier lors d’un showcase au Hard Rock Café de Paris. Sa version de Little Wing sur le Live in NYC est sublime.
oui live at FIP très bon, et aussi « Big Man, Big Guitar ». J’adore le morceau I Can’t See The Light Of Day. C’est d’abord par des albums live que j’ai également découvert Popa Chubby, avant de chroniquer 2 de ses albums studio (The Catfish et two dogs) et d’avoir eu la chance de l’interviewer, puis de le rencontrer !
Concernant Dixie Frog, j’ai chroniqué beaucoup d’artistes de ce label, et notamment Eric Bibb : https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/jazz/migration-blues-deric-bibb-quand-le-blues-devient-porteur-despoir_3295573.html