La jam du Sirius fidèle à elle-même

Hier soir je suis retourné au Sirius où je n’étais pas allé depuis le mois de mai dernier.

Depuis la rentrée de septembre, j’ai levé le pied sur les jams. La Vache Rouge une fois par mois, deux soirées au New Note, le vernissage de l’expo photos au Jack Jack, un seul lundi au King Arthur pour tout l’automne, deux jeudi à l’Âne sans queue, et une jam privée à Genas. Bien loin du rythme de 2022-2023 où j’en faisais plusieurs par semaine ! Et dans le cas du Sirius, la dernière fois où j’y avais joué remonte au 8 mai dernier…

Hier soir j’y suis retourné, et j’ai retrouvé plein de visages connus. Quant au fonctionnement de la jam, il n’a pas changé : ça démarre toujours aussi tard (après 22h !) avec une ouverture d’au moins une demi-heure… ce qui fait qu’on peut commencer à jouer une fois la soirée bien entamée… et vu le (très) grand nombre de musicien-nes inscrit-es, on se cantonne généralement à 2 morceaux, pas plus. J’ai ainsi œuvré sur Valerie d’Amy Winehouse et Long train running des Doobie Brothers.

Un peu frustrant car trop court, mais quand même un bon moment. Et puis la prestation du musicien avec sa Sanza/Kalimba a offert un instant unique.

© Jean-François Convert – Février 2024

Étiqueté ,

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

error

Suivez ce blog sur les réseaux