Ça y est, le Festival de Cannes a débuté.
Et il y a tout juste 25 ans, en 1994, outre La cité de la peur et son inoubliable Carioca, c’est surtout Pulp Fiction qui marquait indubitablement la croisette en décrochant la Palme d’Or.
Un film devenu culte, sans doute le plus célèbre de Tarantino.
Sa déconstruction scénaristique et son anti-chronologie a donné des idées à l’écrivain Chris Anderson : et si Vincent Vega (le tueur incarné par Travolta) n’était pas mort ? Finalement quand on y réfléchit bien, dans le film on le revoit bien vivant dans la dernière séquence, pourtant située plusieurs minutes après que Bruce Willis lui ait tiré dessus à bout portant, du fait du montage morcelé.
Je me souviens de cours en licence de cinéma, en 1994-1995 avec Thierry Frémaux (oui celui-là même qui s’occupe maintenant du Festival…), où il insistait sur cette idée de génie du réalisateur : montrer un personnage en excellente santé, seulement quelques scènes après qu’on l’ait vu mourir.
Alors pourquoi ne pas pousser la logique jusqu’au bout ?
Et c’est justement le parti-pris de Vega Brothers :
Un roman qui clôt une trilogie commencée avec :
1/ Revenge la suite de Pulp Fiction et Reservoir Dogs
2/ Mike, Cascadeur et Serial Killer la suite de Death proof
Visiblement, des ouvrages qui ont séduit plus d’un lecteur, car les 2ème et 3ème opus sont classés dans les meilleures vente Amazon de la catégorie « Tueurs en série ».
Retrouvez tous les différents livres de Chris Anderson ICI