Avec son deuxième album ‘II’ sorti le 22 octobre, Octantrion confirme son statut de référence française des musiques d’inspiration nordique.
Octantrion, c’est Éléonore Billy et Gaëdic Chambrier, réunis depuis 2014 par leur passion commune pour les musiques du Nord, celles des légendes scandinaves illustrées par des instruments très particuliers comme le nyckelharpa. Octantrion est adoubé par de grands musiciens scandinaves. Le duo est devenu la référence française des musiques d’inspiration nordique.
Le groupe est de retour avec II, son second album disponible depuis le 22 octobre (Quart de Lune/UVM Distribution/IDOL). Chaman et The Dead King en sont les deux singles extraits jusqu’à présent.
Octantrion combine des influences traditionnelles et plus modernes avec un instrumentarium principalement à cordes pincées hors du commun (cistre basse nordique, mandoloncelle, guitare-harpe, nyckelharpa suédois, hardingfele norvégien.)
Pour l’album II, la thématique du corbeau, comme symbole des cultures païennes nordiques/vikings, a été choisie et sert de fil rouge musical. The Dead King évoque la légende des deux corbeaux d’Odin. Quant au morceau Chaman, son titre parle de lui-même :
Cet album II a été pensé de manière très différente que le premier album. Alors que le premier disque d’Octantrion faisait la part belle aux timbres des extraordinaires instruments joués par Eléonore Billy (nyckelharpa suédois, hardingfele norvégien) et Gaëdic Chambrier (cistre basse nordique, mandoloncelle, guitare-harpe), tout juste soutenus par la contrebasse de Jean-Philippe Viret (lauréat d‘une victoire de la musique en 2011 et d’une victoire du Jazz en 2020), le nouvel album II est servi par des orchestrations beaucoup plus denses, l’intervention de six musiciens additionnels ainsi que par l’apparition de la voix et du chant sur quatre morceaux.
Après avoir été adoubés par de grands musiciens scandinaves et être devenus la référence française des musiques d’inspiration nordique, Octantrion revient avec cet album II qui comprend quinze morceaux, dix compositions originales ainsi que cinq traditionnels suédois et islandais réarrangés.
Infos via Xavier Chezleprêtre